Mai 2010, Nice est sous le choc après un coup de vent qui transforme la promenade des Anglais en mur d’eau. Des vagues de plus de 10 mètres déferlent sur la chaussée pour le plus grand plaisir des photographes amateurs. Mars 2018, le vent emporte la plage à Vias près de Béziers. Le 25 septembre 2018 à Villeneuve Loubet la mer se déchaîne sous un coup de vent exceptionnel. Le 29 octobre 2018, la dépression Adrian suit de près l’anticyclone des Açores qui assurait son rôle poétique sur l’ensemble du territoire. Des vagues de plus de 10 mètres déferlent sur Menton provoquant des dégâts de plusieurs centaines de milliers d’euros… Nous pouvons ainsi vous donner nombreux exemple de coups de mer. TCA Assurances, expert en assurance coup de mer et assurance pour restaurant de plage, vous conseille.
Le lendemain matin, tous les employés des restaurants et de plages privées sont sur le pont pour nettoyer, ranger, mettre en sécurité leur outil de travail. La compagnie d’assurance restaurant de plage est saisie. Mêmes phénomènes pour les mêmes effets sur l’Atlantique. Dans la nuit du 10 au 11 novembre 2018 les communes de l’île d’Yeu, de Saint-Georges-de-Montaigu et de Saint-Brévin-les-Pins sont balayées par une tornade. Les dégâts, heureusement seulement matériels, sont là aussi importants. Sans oublier les exploitations d’outre-mer et sa terrible météo dévastatrice. Heureusement, pour faire face, TCA vous propose une assurance coup de mer couvrant jusqu’à la perte d’exploitation.
La réponse est alors claire : oui. La société TCA Assurances s’est fait une spécialité de l’assurance restaurant de plage et des risques spécifiques atypiques et aggravés. Cette activité saisonnière (ou pas) en fait partie. TCA assure votre restaurant de plage en assurance multirisque CHR et en assurance multirisque professionnelle. Elle s’adapte aux risques comme les coups de mer accompagnés le plus souvent de coups de vent violents. Comment ne pas prendre en compte ces phénomènes météo de plus en plus fréquents qui provoquent des dégâts humains, matériels et des pertes d’exploitations importantes ? TCA vous assure à la carte. Ce qui signifie que nos équipes travaillent avec vous pour déterminer la cotation la plus adaptée en prenant en compte toutes les spécificités de votre entreprise. Nos contrats d’assurance pour restaurants de plage sont certainement les plus protecteurs du marché :
– Assurance en valeur de reconstruction à neuf,
– Assurances pertes d’exploitation ou, au choix en valeur vénale des éléments incorporels du fonds,
– Garantie spécifique des frais et pertes indirectes consécutifs aux sinistres couverts
– Garantie dommages des installations électriques et des matériels avec calcul éventuel de la vétusté
– Franchises adaptées à la situation particulière de chaque risque,
– Garantie des marchandises en stock,
– Garantie de la perte d’usage ou de la perte de loyers en cas de sinistre garanti,
– Couverture optionnelle des frais et pertes consécutifs aux sinistres.
– Assurance responsabilité civile
– Dégât des eaux
Ce ne sont que quelques exemples des clauses comprises dans un contrat type. Comme nous travaillons avec vous à la carte il est toujours possible de prévoir l’ensemble des risques qui vous semblent raisonnables de couvrir.
Les autorités administratives semblent en effet disposées à faire respecter coûte que coûte la loi littorale du 03/01/1986 et les décrets afférents. Dont le décret plage du 26/05/2006 qui dit : « L’usage libre et gratuit par le public constitue la destination fondamentale des plages ». Ce décret stipule que 80 % des plages naturelles restent libres de constructions tels que bars ou restaurants de plage. Ce taux est de 50 % lorsqu’il s’agit d’une plage artificielle. Les professionnels, eux ne peuvent plus travailler que 6 ou 8 mois par an en fonction du classement de la station concernée et de la fréquentation touristique. Les bâtiments exploités doivent être démontés en fin de saison pour libérer la plage.
La justice est intervenue pour rendre les plages du domaine public aux estivants de la Côte d’Azur. Les plages de La Mala à Cap d’Ail, et la Paloma à Saint-Jean–Cap-Ferrat sont désormais conformes à la loi à la suite d’un travail que l’état conduit depuis des années avec constance. Les bulldozers sont intervenus en janvier 2018 en lieu et place des restaurateurs qui ne souhaitaient pas s’en charger eux-mêmes. Le coût ? 250 000 euros facturés par l’état et même si les recours en justice se poursuivent ils ne sont pas suspensifs. Il faut payer.
En effet, TCA Assurances prend en charge les pertes d’exploitation inhérentes à ce changement du cadre légal. Tout comme un ensemble de catastrophes naturelles, de bris de matériel, d’incendie, de chocs de véhicules à moteur et bien d’autres circonstances. Le but étant de donner une chance à l’entreprise de retrouver la situation financière qui aurait été la sienne en cas de poursuite normale de l’exploitation. TCA Assurances s’est adaptée pour offrir aux restaurateurs des solutions d’assurance spécifiques à leur activité. Pour qu’ils ne « jouent » plus avec les risques météorologiques tels que les coups de mer, les aléas légaux, tous risques fatals pour la pérennité de l’exploitation.
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